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samedi 28 mai 2016

Sociopolitique : ledit "clientélisme"

Sociopolitique
"clientélisme", origines et actualité

*   *   *
Cher(e)s internautes qui lisez ceci: ne vous méprenez pas.
Le texte qui suit est très modestement composé dans le but tout autant - égoïste (pour tenter d'y voir plus clair par moi-même) que pour tenter de faire partager mes propres réflexions aussi bien par mes proches et ma petite famille (enfants et petits-enfants, présents et à venir) que par un autre auditoire, ici ou ailleurs..!

D'emblée, soyons "au diapason" des titre et sous-titre : comme tant d'autres usagers d'internet, je me réjouis des facilités offertes par Blogger et par Google pour la réalisation de tout ceci. 

Lesdites "études classiques" c'est-à-dire (sans approcher les détails organisationnels propres à chaque système original et,ou officiel, d'enseignement) incluant l'apprentissage et la pratique, en thème et version, desdites "langues anciennes" : hébreu, grec ou latin, ont été complètement abandonnées dans leur aspect OBLIGATOIRE sine qua non depuis lesdites 'Golden Sixties', et laissées au bon-vouloir des parents ou tuteurs des enfants mineurs d'âge, dans la plupart des pays d'Europe occidentale.

Ne me laissez pas sous-entendre que je suis un de ces "vieux barbons" nostalgiques d'un quelconque ordre ancien que je rêverais de voir rétabli de quelque façon que ce soit.

Toutefois je ne suis pas sûr et certain que cette nostalgie n'est pas précisément ce dont rêvent quelques autres "vieux barbons" nostalgiques, détenteurs d'une quelconque autorité dans leur communauté - légitime ou non, allez savoir.! 

Revenons à l'actualité de 2016 - et tentons d'imaginer un probable futur à venir.

Grâce à internet et bien entendu - on n e le dira j a m a i s assez..! grâce à Blogger et à Google (n'oubliez pas S.V.P. la sébille disposée pour recevoir vos dons, à la sortie)
Blogger et Google dont les apports technicomédiatiques sont devenus incontournables pour déchiffrer la jungle du Web (la Toile d'araignée) j'ai l'insigne honneur de vous présenter la comparaison qui suit, de laquelle vous - cher(e)s internautes qui lisez ceci, tirerez vos propres raisons et vos propres réflexions.

Cela "va sans dire"..,
aucun parallèle ne sera fait avec les systèmes sociopolitiques à l'oeuvre dans aucun autre pays adhérent aux Traités internationaux actuellement en vigueur : Europe, Commonwealth, O.C.D.E., etc..!

Pour satisfaire une habitude personnelle qui fut pour moi pratiquement (dé)formation professionnelle : voici des éléments d'histoire relatifs à une période de l'Antiquité qui précéda de peu la scission de l'Empire de Rome et l'accession concomitante du Christianisme, au rang de religion d'Etat, par le nouveau promu "César" de l'Empire d'Orient Constantin autoproclamé - notamment., "Sol invictus".

http://www.empereurs-romains.net/emp18.htm

https://www.scribd.com/doc/193679573/Livre2-Christianisme-Romain-en-Questions

*   *   *

"La plèbe s'est définie pendant longtemps par l'absence de droits politiques. Mais elle n'est pas homogène du point de vue de la richesse. On peut distinguer plusieurs couches sociales dans la plèbe.

 Les plébéiens les plus riches
La partie la plus riche des plébéiens, vivant comme certains patriciens, en particulier ceux qui sont les chevaliers. Certains de leurs descendants, qui sont suffisamment riches pour entrer dans les classes supérieures du cens, peuvent espérer faire une carrière politique en suivant le cursus honorum. Parmi eux on trouve, des marchands en gros (les negotiatores), les financiers (argentarii). Ces professions bien que très rémunératrices étaient jugées incompatibles avec la carrière politique. Ils n'est pas rare que ces hommes aient des clients.

 La couche moyenne
On y retrouve les membres des 160 métiers spécialisés des artisans de Rome. Parmi eux les artisans. Ce sont des citoyens libres et possèdent souvent des esclaves. Ils se regroupent dans des collèges (associations professionnelles) qui leur servent à défendre leurs intérêts (pour le ravitaillement ou contre les impôts et taxes). Au moment des campagnes électorales, Ils peuvent servir de milices privées pour de riches romains qui veulent se faire élire.

 Les prolétaires
 Les prolétaires sont ceux qui n'ont que leurs bras pour vivre. Ils sont de petits artisans, ou des ouvriers travaillant au jour le jour. Ils sont généralement qualifiés pour échapper à la concurrence que leur font les esclaves.


Pour leur fournir du travail, les autorités les emploient sur les grands chantiers urbains, la construction des monuments ... Ils bénéficient des distributions de nourriture faites par les autorités ou bien des personnes privées (secours appelés la sportule). Malgré la difficultés de les connaitre, faute de traces archéologiques, on pense qu'ils seraient environ 320 000 à la fin du Ier siècle

 Les déclassés
 Les déclassés forment la tourbe. Ils vivent de rapines, de crimes et de délits divers. Ils ne survivent que par les distributions publiques de nourriture et de ce que leur rapportent leurs méfaits. Ils sont craints des autorités car ils peuvent rapidement se révolter et sont près à tout pour avoir de quoi survivre. On tente de les faire partir pour peupler des colonies, mais cela a peu de succès.


 Les ruraux
 Les ruraux représentent environ 90 % de la population totale de la cité (les esclaves comptent pour près de la moitié).

Les ruraux sont en partie des travailleurs agricoles libres. Mais ils ne possèdent pas la terre qu’ils travaillent ou ne disposent que d'une toute petite surface insuffisante pour vivre. Leur travail est dur. Ils sont souvent obligés de partir et ont des dettes importantes envers des prêteurs qui peuvent être leurs employeurs. Le brigandage est important dans les campagnes."


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